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Anciens Sapeurs Pompiers de Perpignan
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22 janvier 2008

LIVRE des BONS COUPS RATES.

Bonjour dans cet Articles des anecdotes que vous aurez mis en commentaire.
aucun nom hormis celui de l'auteur ne sera cité, elles resteront polies et seront si besoin censurées.
Veillez excuser le mauvais catalan écrit et qq  fautes d'orthographe.


---Douzième Anecdote par MERMOZ.

     Si je me rappelle bien, l'hiver 77..78 fut rude dans les Hauts Cantons ceci amena le service
mécanique à réparer pas mal de pompes. En effet, les corps de pompes avaient éclaté sous
l'effet de la gelée qui sévissait dans les remises. Notre sympathique CHEF qui n'avait aucune
autre alternative que d'user du marteau pour  chasser les turbines de l'axe des pompes ne
possédans pas de presse au service .
     Du Matin au Soir c'était la ROUMBA du MARTEAU . Aussi un matin à la prise de service
Mystère le marteau avait disparu!!!!!!!!!    (un petit malin avait ainsi coupé la SONO).
Le CHEF partout remua, chercha, râlant et pestant se méfiant de cette disparition.
En fin de matinée, au moment de l'apéritif, on ouvrit le frigo (pour l'eau fraiche) et là
Stupeur le marteau, était au frais dans le frigo. ( c'est comme cela que l'on su que le marteau
était de sexe masculin car il déclara : c'est pas trop tôt!!!   On se les gèle la dedans.)

Je n'ai pas proposé cette anecdote mais j'ai de forts soupçons sur l'identité du petit Malin.


---Onzième Anecdote proposée par COSTA G.

Un beau jour de juillet lors d'une sortie de notre amicale à Barcelone pour la visite du Zoo avec nos
enfants. Après un moment de visite nous nous apercumes  qu'il nous manquait  un de nos
camarades resté à la traine, après des recherches on le trouva assis entre deux cages.
  Il attendait la  bete:< No Passar>    qu'il ne vit jamais.   IL SE RECONNAITRA    LoL.


---Dixième Anecdote proposée par El Gringo.

Le passage dans la cour de la caserne de la légion qui servait de paking journalier me fait penser
qu'un de nos collègues s'imposa pour introduire dans ce parking un véhicule surélevé malgré
l'opposition  d'un de nos officiers. Malgré cela on  engagea le véhicule sous le porche et un bruit
bizarre stoppa net notre progression, le toit venait de s'enfoncé et le véhicule était bloqué  sous
le porche, ne pouvant ni avancé, ni reculer, ne permettant même pas au conducteur de sortir.
Il fallut pour le débloquer dégonfler les  4 roues et faire monter sur le parechoc  du véhicule les
plus lourds éléments présent dans la caserne ce jours là( michel notre teiziste).

L'officier qui avait prédit la chose ,dans son accent du nord ( de l'algérie) sanctionna le fautif
en l'obligeant a réparé durant le Week-end. Le toit était descendu de 30 bon Cm, c'est pourquoi
depuis ce véhicule avait pris quelques KILOS de plus vu l'épaisseur de syntofer qui le coiffait.


---Neuvième Anecdote proposée par MERMOZ.

Pour disposer de la cour intérieure de l'ancienne caserne,tous les matins les engins stationnés
pour la nuit étaient déplacés sur le parking intérieur situé en place et lieu de l'actuel conservatoire
de musique. Le soir l'opération inverse, inconvénient pour les véhicules découverts: le conducteur
était copieusement arrosé lors de son passage sous le porche de l'entrée.
C'est pourquoi on pouvait voir un de nos collègue complètement équipé de la tenue de pluie même
les jours de grand beau temps pour effectuer cette mission.


---Huitième Anecdote proposée par JP. C.

Par manque d'argent nous n'avions au local TV de l'ancienne caserne que des Chaises. Un futé
décida d'utiliser des matelas disponibles, mais il fallait les disposer sur une ossature métallique.
Le Fer étant disponible à profusion dans les ateliers, on confectionna une structure métallique
destinée à supporter les matelats...
Personne n'avait pensé au gabarit. Ni par la porte, Ni par la fenêtre ne passèrent  ces monstres
. Le fer n'a jamais rouillé; chacun pouvait aller se servir sur la terrasse du garage FABRE
  ( Qui en a vu beaucoup)  et détailler les bêtes.


---Septième Anecdote proposée par JP. C.

Lors d'un départ le chef d'agrée en s'apercevant de l'absence d'un équipier demanda à le faire
réveiller. Rapidement nous nous sommes rendus dans la chambre, le sujet dormait paisiblement
Il fut réveillé en sursaut, mais nous n'avions pas fait attention que sa tête était sous la barre
d'acier de la tête de lit (lit métallique militaire), il se réveille en relevant brutalement sa tête,
se cogne le front. Retombe en arrière assommé. il fallut le remplacer sur son piquet.


Marc_Lievremont---Sixième Anecdote proposé par      M° Yapas   set

Le Nouvel entraineur du Quinze de France est un ancien
SP de Perpignan. Son père ancien du SNEC de Collioure
et ancien joueur de l'étoile ARGELESIENne.
Souhaitons lui beaucoup de réussite dans ces nouvelles
fonctions.
Y sempre en dabant mail morirem.


---Cinquième Anecdote proposée par RP pour Toumba et PuPu.

A intervalles réguliers un camion citerne hollandais se ravitaillait en eau fraiche au poteau
d'incendie du poste de garde de l'ancienne Caserne, il transportait dans sa citerne des anguilles
vivantes. Ce soir la (2h du mat) le stationnaire récupéra une anguille et avec un complice monta
dans un des appartements qui servait de dortoir et par la porte entrebaillée jeta la bête sur
un dormeur qui reveillé par celle ci cria: < Un SERPENT !!!>  puis silence complet plus rien!!!!
Les deux rigolos après avoir ri se demandèrent pourquoi un seul crie et plus rien.
Inquiets ils passèrent la tête par la porte et constatèrent que la victime dormait et ronflait
bien plus qu'avant leur méfait, ils redescendirent au RDC se demandant ou avait bien pu
passer l'anguille.
Au Matin comme à l'habitude on se retrouva au bar alsa et en prenant le café on questionna
la victime qui nous dit tout simplement que l'animal avait fini dans l'évier et avait disparu.
Ceux qui connaissent cet épisode ce rappelleront de la victime qui aujourdhui n'est plus la
mais à qui nous pensons souvent.


---Quatrième Anecdote proposée par Robert OLIVA.

A l'ancienne caserne, le rassemblement du matin énumérait les piquets de chacun, dévoilé le
planning et les tâches de la journée. Souvent, les mécanos se voyaient privés de sport afin
d'effectuer des réparations sur les véhicules du parc départemental déjà. ! Cela s'effectuait
à tour de rôle, le chef d'atelier le consignait journellement sur un gros agenda de banque,
A plusieurs reprises, il eu l'idée de faire supprimer les séances de sport en maintenant que
sur l'agenda était mentionné les noms des personnels de l'autre équipe, qui bien sur
travaillaient plus que la notre?. Les jours qui suivirent, le chef de la mécanique, ne trouva
plus l'inspiration dans son bel agenda , car toutes les pages avaient été collées de la première
à la dernière?..
La colle m'avait été fournie par le vieux ..........?.


--- Première Anecdote proposée par Jean Pierre CALATAYUD.

 
  A l'époque nous allions chercher nos repas à la bonne auberge , il fallait traverser le rond point
à 2 pas de la caserne, il avait été proposé pour aller les chercher une charette à bras et calot sur la tête
ce qui éleva une protestation des plus coquets SP de cette époque( ils se reconnaitrons).


--- Deuxième Anecdote proposée par Robert OLIVA.
     Un de nos amis SP avait un bateau et il s'équipa de gilets de sauvetage en testa un dans la cour
en sortant du couloir de l'atelier radio il dit:  <  Embe a cho me nageré pas   §§>
     A cet instant un seau d'eau tomba du ciel et une voie céleste dit: <  NAGAT >.


--- Troisième Anecdote par René Philippot.
     Par une belle après-midi un ami SP sifflait dans la cour intérieure de l'ancienne caserne.
Il appelait son épouse étant logé. 4  rigolos qui regardaient  un match du tournoi dans une
chambre l'entendant se précipiterent  aux fenêtres précédemment équipées de seau d'eau
et   procédèrent à l'extinction du siffleur.
    Le Siffleur paralysé au milieu de la cour laissa échappé sa poubelle qu'il tenait à la main
une dame qui sortait du couloir laissa échappé:< HOoooo !! il lui ont même jeté le seau  !!!!!>
   Et pendant  quelques temps les remplacement du matin furent supprimés.

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Commentaires
M
Si je me rappelle bien, l’hiver 1977 ou 78 fut rude en Cerdagne Capcir car durant quelques semaines le service mécanique fût amené à réparer quelques pompes d’engins. En effet, le corps avait éclaté sous les fortes gelées qui sévissaient dans les remises. Notre sympathique Chef n’avait aucune autre alternative que d’user du marteau afin de chasser les turbines de l’axe des pompes car nous ne possédions pas de presse. Du matin au soir s’était la roumba du marteau. Un beau matin, lassé de supporter se bruit, un petit malin cacha le dit outil….<br /> Notre chef chercha partout son instrument sans résultat..Qu’est ce qu’il ralait..Ce fut en fin de matinée, au moment de l’apéritif, lorsqu’il alla chercher l’eau au frigo qu’avec stupeur, il découvrit que le marteau était caché dans le réfrigérateur…
C
un beau jour de juillet lors d'une des sortie de notre amicale a barcelone pour la visite du zoo avec nos enfants . apres un petit moment de visite nous nous apercumes qui nous manqué un de nos cammarade resté a la traine, apres des recherches on le trouva assisentre deux cages ( il attendait le NO PASSAR qu'il ne vue jamais) il se reconnaitra LOL
M
Pour de disposer de la cour intérieure de la caserne, afin d’effectuer les différentes tâches qui nous incombaient, tous les matins, les engins stationnés pour la nuit étaient déplacés sur le parking extérieur situé en place et lieu de l’actuel conservatoire de musique. Le soir s’était l’opération inverse.<br /> L’inconvénient de sortir les véhicules qui ne pouvaient transiter autrement que par le porche que surplombent le réfectoire et certaines chambres résidait pour le conducteur d’un engin découvert de se faire coiffer par un ou plusieurs seaux d’eau lors de ce passage.<br /> Un de nos collègues avait trouvé la solution en revêtant la tenue de pluie pour conduire ces engins d’un parking à l’autre.
C
Le local TV de l'ancienne caserne ne disposait que de chaises.<br /> "pas de sous" ayant décrêté qu'il n'y aurait pas d'achat de banquette, un futé décide d'utiliser les nombreux matelas disponibles<br /> Mais il fallait les disposer sur une ossature métallique.<br /> Le fer étant disponible à profusion grace aux ateliers municipaux, on confectionna une structure métallique destinée à supoorter les matelas ....<br /> Mais personne n'avait pensé au gabarit.<br /> Ni par la porte ni par la fenêtre ne passèrent ces monstres.<br /> Le fer n'a jamis rouillé: chacun pouvant aller sur la terrasse du garage Fabre (qui en a vu beaucoup)se servir en détaillant la bête!
C
J'étais téléphoniste...Le sous-officier inquiet de ne pas voir descendre le préposé me demande d'aller le secouer.<br /> Je monte rapidement jusqu'aux chambres.<br /> Le sujet dormait tranquillement.<br /> Je lui crie de venir au départ.<br /> Mais je n'avais pas remarqué qu'il avait sa tête sous la barre d'acier (ancien lit militaire)<br /> il se réveille. Lève la tête brutalement. Se cogne le front. Retombe en arrière assommé.<br /> J'ai réveillé le deuxième téléphoniste et je suis parti à sa place au VSAB.
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